La famille : couple, mariage, enfants...
Publié le 16/04/2012 à 09:30 par langedeleternel
Chemin de la vie
Le parent se prépare
Le foetus
Psaume 139/13
Bébé et papa
Le bébé : la conception...
L'unité essentielle
Bébé de 0 à 2 ans
Les mamans
Les enfants de 2 à 7 ans
Le contact visuel
Le contact physique et l'enfant
La puissance des mots
Déclarer la valeur de l'enfant
Publié le 16/04/2012 à 08:52 par langedeleternel
Publié le 16/04/2012 à 08:48 par langedeleternel

PARENTS REVEILLEZ-VOUS !
"Instruis l'enfant dans la voie qu'il doit suivre." Pro 22/6
Une récente fusillade dans une cour d'école aux Etats-Unis causa la mort d'une domaine d'enfants, sans compter les dizaines de blessés, certains marqués pour la vie. L'un des élèves, hurlant comme un fou et riant à gorge déployée, ouvrit soudain le feu sur ses camarades avant de retourner l'arme contre lui. "Mais pourquoi le gouvernement ne fait-il rien pour éviter ce genre d'atrocité ?" ont demandé certains d'entre vous. Ce n'est pas le rôle du gouvernement d'éduquer les enfants mais celui des parents !
Quand de tels événements surviennent nous découvrons qu'ils ont presque tous la même cause : des jeux vidéo ultra-violents! La récente tuerie prit naissance dans l'imagination d'un garçon désoeuvré dont l'unique intérêt était de jouer à ces jeux dépourvus de toute moralité dans lesquels les méchants font figure de héros, pulvérisant à qui mieux mieux les malheureux perdants et inondant l'écran de sang et de corps disloqués. "Les magasins ne devraient pas vendre ce genre de jeux vidéo !" affirment certains. Peut-être, mais les propriétaires de ces magasins savent très bien que, plus le jeu vidéo est violent et dépravé, plus ils en vendront d'exemplaires. La violence est devenue la principale source de plaisir de nos enfants ! Quant aux producteurs de ces jeux, la loi les protège. "Nous ne sommes pas responsables de la violence de notre société !" affirment-ils bien fort. Et qui donc est responsable ? Nous, les parents !
La Bible nous apprend que nous incombe la responsabilité d'éduquer nos enfants en leur donnant :
1-Beaucoup d'amour, sinon ils iront en chercher dans des endroits malsains et dangereux.
2-Une certaine discipline : des règles de vie avec des récompenses pour les encourager à les respecter et des punitions lorsqu'ils les enfreignent.
3-Une direction à suivre : s'ils apprennent, dès leur plus jeune âge, à connaître Dieu, le monde ne pourra plus les satisfaire, une fois qu'ils auront atteint l'âge adulte.
4-Un mode de vie : si vous marchez en accord avec la volonté de Dieu, sachez les encourager à marcher à vos côtés. Le meilleur moyen de convaincre quelqu’un d’embrasser la foi chrétienne est de lui montrer que votre vie n’ a de sens que parce que Dieu en est le centre.
Bob Gass
Publié le 25/08/2011 à 08:31 par langedeleternel
Je veux que les jeunes se marient
( 1 Timothée: 5/14 )
Un mariage voulu de Dieu tient la route.
Que l'homme ne défasse pas ce que Dieu a unis.
Publié le 19/04/2011 à 14:04 par langedeleternel

Samuel, tout enfant, est remarquable par sa foi ferme dans un entourage dépravé. Il avait des parents exemplaires. Le sacrificateur Héli avait un comportement de père lamentable. Et Dieu va marquer la différence.
L'état de notre génération
Notre génération st en train de se dégrader de plus en plus. Les parents doivent en prendre conscience. Mais un enfant qui sera bien instruit et éduqué selon la Parole de Dieu, ayant l'amour et la craint de Dieu, pourra rester pur dans cette génération. Samuel est un exemple remarquable et nous allons voir pourquoi.
La gloire est bannie
I Kabod ce qui signifie la « gloire est bannie » ! C'est le nom qu'a donné une maman a son fils et elle dira pourquoi : Elle appela l'enfant I Kabod à cause de la prise de l'arche de Dieu, et à cause de son beau père (le souverain sacrificateur Héli) et de son mari. Et elle dit : La gloire est bannie d'Israël 1 Samuel 4 : 21,22 Le mauvais comportement d'un serviteur de Dieu envers ses enfants a été la cause du départ de la gloire de Dieu. Si nous voulons voir la Gloire de Dieu, il faut apporter aux enfants ce que Dieu demande.
LES TEMPS DIFFICILES POUR LES ENFANTS
1.La Parole de Dieu était rare en ce temps-là 1 Sam 3 : 1 L'enfant a besoin de la Parole de Dieu dès son plus jeune âge. Enseignez l'enfant même s'il ne comprend pas, car il a plu a Dieu de révéler ces choses aux enfants.
2.Les visions n'étaient pas fréquentes Il faut avoir la vision des temps très difficiles dans les quels vivent les enfants. Avoir la vision de ce que Dieu peut faire avec des enfants.
3.Eli avait les yeux troubles 3 : 2il n'était pas dans le coup. Il ne voyait pas le mal qui se passait autour de lui, ni la valeur d'Anne et de son fils. Il ne se rendait pas compte de la conduite désastreuse de ses fils qui volaient, qui couchaient avec d'autres femmes.
4.Il était couché : il n'avait pas envie de réagir aussi ses fils se livraient au mal dans le temple. Nous ne voulons pas baisser les bras devant tant de mal dans notre société.
5.Les fils d'Eli étaient pervertis 2 : 12 à 17Le manque d'instruction conduit à la perversion.
6. Le laxisme du père Eli devant le péché de ses fils 2 : 22-25 cette faiblesse a provoqué la mort de ses propres fils.
7. L'enfant était roi :La grande faute d'Eli, il avait bouleversé l'ordre des valeurs pour lui, d'abord les enfants, les biens matériels ensuite et Dieu après. Servir Dieu était pour lui une source d'engraissements 2 : 29Et d'où vient que tu honores tes fils plus que moi, afin de vous engraisser des prémices de toutes les offrandes…
Voilà le climat moral et spirituel dans lequel évoluera le jeune enfant Samuel. Nos enfants évoluent dans un monde sans repère, où l'ordre des valeurs est bouleversé. La seule ressource, c'est l'éducation chrétienne que vont donner les parents et l'influence de leur vie spirituelle vécue à la maison, à condition qu'ils le fassent dans la toute première enfance.
ANNE ET ELKANA, DES PARENTS MODELES
1. Tous deux, des adorateurs fidèles 1 Sam 1 : 3La première Bible que lira l'enfant, c'est la vie de ses parents. Les parents doivent être des modèles dans leur foi à la maison, devant les enfants. Tout manquement aura une influence négative sur l'avenir de l'enfant. Nos actes comptent plus que nos paroles.
2. Anne, femme de prière et de jeûne 1 : 26, 27 il faut savoir prier et même jeûner pour les enfants que Dieu nous donne, avant que ne surgissent les problèmes. Aujourd'hui, il existe une association de mères de famille qui prient ensemble une heure pour leurs enfants.
3. Anne, femme de compassion et d'humilité 1 : 13-17 humiliée par Héli, elle réagit avec amour, sans critique. La critique est dangereuse devant les enfants et peut ruiner leur vie spirituelle.
4. Elkana, responsable de toute sa maison 1 : 21 Il entraînait toute sa maison pour adorer Dieu, il était « chef de famille » mais aussi chef spirituel. Il faut des hommes qui soient aussi des chefs spirituels dans leur maison, qui veillent sur la vie spirituelle de tous les membres de la famille surtout à celles des enfants.
5. Anne remplie de l'Esprit : 1 Samuel 2 Elle nous donne un psaume magnifique
SAMUEL JUSQU'AU SEVRAGE
Le sevrage avait lieu entre 3 et 5 ans
Ps 22 : 10, 11 David affirme qu'il a été sous la garde de Dieu dès le ventre de sa mère.
L'influence des premières années marquera l'enfant pour toute la vie. Les années formatrices sont avant 6 ans. L'Islam est enseigné entre 3 et 6 ans. Mao commençait l'enseignement de son livre rouge aux enfants de 2 ans. L'éducation des parents s'exerce à plein dans les premières années et marquera toute la vie de l'enfant. Il est reconnu que les plus grandes meurtrissures de la vie se font entre 2 et 4 ans.
Noter l'éducation se fait en harmonie entre la mère, le père et le Seigneur : 1 : 22, 23Anne dit à son mari... Elkana lui dit… Veuille seulement l'Eternel accomplir sa parole !
SAMUEL, PRETE A DIEU
1. Son premier contact avec la maison de Dieu 1 : 24 amener l'enfant le plus vite possible à la maison de Dieu. La fréquentation de l'église n'est pas négociable.
2. La découverte du sacrifice : 3 taureaux, un pour chacun, l'enfant doit découvrir le sacrifice expiatoire de Jésus le plus tôt possible. Ce qui l'amènera à la repentance et à la notion du péché, de la conséquence du péché et du pardon par le sang de Jésus.
3. La crainte de Dieu et l'adoration : 1 : 28ils se prosternèrent là devant l'Eternel. Samuel participe avec ses parents. Se prosterner, c'est reconnaître dans l'humilité l'autorité de Dieu sur sa vie. La crainte de Dieu est le commencement de la sagesse.
4. Il est prêté à Dieu Ses parents se sentent toujours responsables.
5. Sa mère lui fait une tunique 2 : 18 elle avait une grande place pour Dieu, mais aussi pour son enfant.
6. Sa croissance se faisait auprès de Dieu 2 : 21 Faites grandir vos enfants dans un environnement spirituel, école du dimanche, lectures bibliques ou profanes mais propres, centre de vacances chrétien. Auprès de qui grandissent vos enfants ? Attention à la télé, aux BD, aux mauvaises lectures, aux mauvaises fréquentations…
COMMENT DIEU LUI PARLE ?ou les manquements de l'instruction d'Héli, le sacrificateur.
Pourquoi Dieu l'a appelé plusieurs fois ? Samuel ne savait pas que :
1. Dieu était présent dans ce lieu.
2. Dieu s'intéressait même à un enfant et qu'il avait un plan pour sa vie.
3. Dieu parlait. 4. Quand Dieu parle, il faut lui répondre. 5. Il faut être prêt à servir Dieu. 6. Même un enfant peut être utile pour Dieu.
Héli le lui a appris durant cette nuit.
L'enfant ne peut pas imaginer ce que Dieu attend de lui. Dieu n'ira jamais plus loin que l'instruction que nous donnons à l'enfant.
Il faut instruire l'enfant, et c'est surtout aux parents de le faire.Prov 1 : 8 Certains s'attendent à ce que Dieu instruise l'enfant mais la Bible est claire : Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre…Proverbes 22 : 6 Dieu donne l'ordre aux parents, aux adultes d'instruire leur enfant
En le corrigeant, il faut l'instruire selon le Seigneur, c'est à dire selon la Parole de Dieu. La correction ne doit pas être seulement punitive, mais aussi instructive. Eph 6 : 4
LA CROISSANCE DE SAMUEL
1.1 Sam 2 : 21Samuel grandissait auprès de l'Eternel
2.1 Sam 2 : 26Samuel continuait à grandir, il était agréable à Dieu et aux hommes
3.1 Sam 3 :1Samuel était au service de l'Eternel
4.1 Sam 3 : 19Samuel grandissait, l'Eternel était avec lui, et il ne laissa tomber à terre aucune de ses paroles.
5.1 Sam 3 : 21 L'Eternel se révélait à Samuel par la Parole de l'Eternel
CONCLUSION Apprendre à prier, faire prier l'enfant chaque jour, prier pour lui, n'est pas suffisant : il faut l'instruire par l'exemple et par la parole : Instruis l'enfant…L'enfant est comme de l'argile : souple, malléable pendant un temps, puis l'argile se durcit. Alors, profitez de ce que l'enfant est souple et malléable, instruisez-le le plus vite possible. Votre enseignement restera gravé pour la vie. L'influence de la famille est déterminante pour l'avenir et la vie des enfants.
source : topchretien.com
Publié le 26/02/2011 à 10:00 par langedeleternel

CHANGER OU S’ACCEPTER DANS LE COUPLE ?
Certaines personnes estiment que soit elles acceptent leur conjoint tel qu’il est et alors il ne changera pas, soit elles lui demandent de changer et alors il ne se sentira pas accepté. Mais la réalité est bien plus complexe et l’équilibre plus subtil. En effet, la construction d’un couple implique toujours un travail sur soi, des remises en question, avec un a priori indispensable :
1. 1) être prêt à changer
Fréquenter quelqu’un régulièrement, avec une éducation et des sentiments différents, entraîne nécessairement un certain nombre de transformations. Consciemment ou non, on change au contact des autres. Mais la vie du couple comporte une dimension supplémentaire : il ne faut pas seulement changer au fil du temps, il faut évoluer volontairement avec son conjoint pour le rendre le plus heureux possible.
L’amour nous fait rechercher l’intérêt d’autrui (Philippiens 2.4). L’amour véritable évolue pour le bonheur de l’autre. Par amour, on effectue des changements réguliers pour faire du bien à notre mari ou notre femme.
Tant qu’on s’efforce de changer soi-même, tout va bien ; mais lorsqu’on exige que l’autre change pour nous, alors les problèmes commencent. L’égoïsme veut que l’autre change pour soi, alors que l’amour veut changer pour l’autre.
Jésus a donné la plus grande démonstration de cet état d’esprit : il a changé de condition pour nous, il a changé sa gloire en humanité pour nous secourir, il a refusé la royauté pour nous servir, il s’est sacrifié pour notre bonheur. Sur son modèle et avec son aide, les conjoints sauront transformer leurs habitudes et leurs caractères pour construire un couple qui dure.
Que chacun garde le désir de changer est une bonne base, mais un autre aspect paraît également utile à l’harmonie du couple :
2) accepter l’autre tel qu’il est
En effet, s’il faut être prêt à changer soi-même, il faut également renoncer impérativement à changer l’autre. S’accepter tel que l’on est, sans exigences de changements chez l’autre est un préalable indispensable à une bonne vie de couple. En préparation mariage, nous demandons souvent : Êtes-vous d’accord de changer vous-mêmes sans exiger de l’autre qu’il change aussi ? La réponse est bien sûr le plus souvent positive, mais la réalité est quelques fois plus difficile à assumer. Renoncer à changer l’autre, c’est accepter ses défauts et souvent les subir.
On peut souhaiter que son conjoint s’améliore, on peut lui demander de faire des efforts sur un domaine particulier ; mais on ne peut pas l’exiger ou l’imposer. Un sondage sorti en janvier 2011 en Grande-Bretagne, fait apparaître que les couples se disputent en moyenne 312 fois par an, en général sur des sujets très pratiques : pour les femmes, les griefs portent sur le rouleau papier qui n’a pas été remplacé, l’abattant des WC, la lumière qui n’a pas été éteinte et le programme Télé ; les hommes, pour leur part, se plaignent plutôt d’un temps trop important des femmes pour se préparer, des canalisations bouchées par les cheveux longs et des reproches trop fréquents concernant la participation aux tâches ménagères.
Sur cette base, on a le sentiment que de petits changements pourraient prévenir un bon nombre de conflits. Mais souvent, l’impression que les efforts ne vont principalement que dans un sens, détruit l’amour. Le mari ou la femme ne rend pas tout ce qu’on lui donne, alors on lui donne de moins en moins, on cesse ses propres efforts et la relation s’altère encore plus. A ce niveau, il faudrait plutôt chercher le dialogue, se mettre à la place de l’autre et ne jamais se lasser d’aimer.
Jésus a donné là aussi un exemple extraordinaire : il nous aime tels que l’on est. Il désire nous rendre meilleurs, mais ne cesse jamais de nous aimer même si on ne change pas. Il poursuit inlassablement notre amour et ne cesse de nous tendre la main, attendant notre réponse. Sa patience doit inspirer la nôtre.
Conclusion : Au début de la relation amoureuse, on apprécie d’être aimé, puis on aurait tendance à vouloir être mieux aimé. Alors on exprime des exigences ou des reproches qui détruisent souvent la relation en faisant croire au conjoint qu’on ne l’aime pas comme il est, que son amour n’est pas suffisant, qu’il doit changer pour être à la hauteur.
Pourtant, l’idéal serait plutôt de se montrer soi-même dès le départ, de bien se connaître mutuellement et ne pas réclamer un changement plus tard.
C’est vrai qu’on découvre certains défauts progressivement (lorsqu’on les subit personnellement et régulièrement), mais l’amour doit permettre de les accepter.
Aimer c’est estimer son conjoint et réaliser la chance qu’on a de l’avoir, au-delà des défauts constatés. D’ailleurs, quelqu’un qui se sait aimé tel qu’il est, fera plus d’efforts pour changer et donnera plus facilement le meilleur de lui-même.
Aimer gratuitement sans rien attendre en retour, comme Dieu nous aime, permet de préserver la liberté du conjoint en attirant ses meilleurs sentiments et en développant ses plus grandes qualités.
Plus que jamais, notre génération a besoin de saisir l’enjeu d’un amour véritable où on change pour l’autre tout en acceptant ce qu’il est…
Pasteur Thibaud Lavigne
source : pasteurdaniel.com
Publié le 13/11/2010 à 11:03 par langedeleternel
Publié le 09/11/2010 à 17:45 par langedeleternel

Cet enfant que j’aurais tant aimé connaître.
Par Catherine Jehanno
En août 2002, enceinte de 8 mois ½, j’ai eu la douleur de perdre mon bébé, décédé in utero. Dieu nous a accompagnés dans cette épreuve, comme vous allez le voir.
Un matin, je découvre que le cœur de mon bébé a cessé de battre. Mon médecin me donne des médicaments pour déclencher l’accouchement. Mon mari et moi appelons nos amis chrétiens afin qu’ils prient pour cet enfant. Notre prière est que, par la naissance de cet enfant, beaucoup trouvent la vie. Sur le moment, nous n’avions pas vraiment conscience de la portée de nos paroles…
Le surlendemain, je lis dans le livre de Job : « Le Seigneur a donné, le Seigneur a ôté, que le nom du Seigneur soit béni. » Je repousse cette pensée. Je veux m’accrocher aux versets qui parlent de résurrection. Nous ressentons vraiment la présence de Dieu ! A 15h30, notre petite Lise naît. Une superbe petite fille de 3,7 kg, sans un souffle de vie. Pourtant, Dieu avait répondu à notre prière.
Une première réponse a été, malgré notre douleur, le réconfort que nous avons pu apporter au personnel hospitalier, lui aussi éprouvé par l’événement. Ce que nous lisons dans la Bible en 1 Corinthiens 10 :13 : « Dieu est fidèle, il ne permettra pas que vous soyez éprouvés au-delà de nos forces, mais avec l’épreuve il vous donnera les forces de la surmonter », a vraiment pris tout son sens dans ma vie.
Une autre réponse a été la présence aux obsèques de personnes qui n’étaient jamais venues dans une église. Au cimetière, alors qu’on descendait le petit cercueil dans le caveau et que mon cœur de mère espérait toujours entendre des pleurs de bébé, j’ai vu dans les cieux une petite fille vêtue de blanc entourée d’anges en train de chanter. J’ai eu la conviction que mon enfant était auprès de Dieu. Nous avons chanté « A toi la gloire ! »
Mais la réponse la plus surprenante à cette prière a été la suivante. Pour me réconforter, une amie m’a adressé le livre Grieving the child I never knew (Pleurer l’enfant que je n’ai jamais connu).
Ce livre encourage les parents éprouvés par une fausse couche ou la perte d’un tout petit à franchir les différentes étapes du processus de deuil en nous appuyant sur Dieu et la Bible. Je tenais tellement à le partager avec mon mari que je l’ai traduit pour lui. Cela n’a pas été facile car chaque chapitre remuait énormément d’émotions en moi. Mon mari m’a encouragée à contacter l’éditeur pour que d’autres familles francophones puissent en bénéficier. Quand nous avons eu l’édition française du livre entre les mains, quelques semaines avec la naissance de notre fils Samuel, nous avons eu la conviction que Dieu avait répondu à notre prière au-delà de nos espérances : que par la naissance de notre enfant beaucoup trouvent la vie.
Vous pouvez trouver ce livre "Pleurer l'enfant que je n'ai jamais connu" ici :
http://www.clcfrance.com/pleurer-l-enfant-que-je-n-ai-jamais-connu_ref_FJAP030.html
source : topchretien.com
Publié le 21/06/2010 à 18:22 par langedeleternel
Publié le 14/06/2010 à 19:43 par langedeleternel